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vendredi 26 juillet 2024

Jardins et espaces verts : Des espèces rares en péril à Biskra

 

 

Jardins et espaces verts : Des espèces rares en péril  à Biskra
Editeur - 25 juillet 2024

  






Dans un communiqué daté du lundi 22 juillet, l’association Mosaïque pour la culture, les arts et la préservation du patrimoine de Biskra s’insurge « contre la déplorable situation des espaces verts et des jardins publics de la Reine des Ziban ». Ceux-ci seraient abandonnés à leur triste sort, privés pour la plupart d’irrigation et d’une maintenance appropriée pour sauver les nombreuses espèces végétales rares et rustiques. Tout en reconnaissant les efforts des pouvoirs publics pour créer de nouvelles places urbaines qui embellissent la ville « à la plus grande joie des familles qui y trouvent repos et sérénité », l’association souligne que le jardin public du 5 juillet 1962 (J’nen Beylek), le jardin Ibrahim Zidane de la cité Dhalaa, et d’autres espaces de moindre importance souffrent, en cette période de grande chaleur, d’un arrêt de l’irrigation dû à des pannes des pompes d’extraction de l’eau. « Biskra est une ville de verdure et ses jardins publics historiques ou nouvellement créés sont des joyaux à préserver et à valoriser. Or, nous constatons que nombre d’arbres dont certains sont uniques sont à la merci de la soif et de la décrépitude et que les responsables de la protection du couvert végétal, dont la Conservation des forêts, se rejettent la balle », est-il souligné dans ce document. Pour conclure, l’association Mosaïque appelle à une intervention urgente pour redonner leur beauté aux jardins de Biskra.

H. M. 





Les "Jardins des Zibans" : une oasis touristique et récréative moderne en plein sahara 

 

 

Les jardins des Zibans est une oasis touristique et récréative grandiose. Implantés sur la route de Sidi Okba, au creux d'une palmeraie paradisiaque de 44 ha à Biskra, ils sont conçus et équipés, genre Disneyland à l’Algérienne, de quoi faire le bonheur des familles et de leurs enfants.

Selon la description de Narimène Mendil qui a fait la visite pour la Chaine 3, cet immense parc d’attraction et de loisirs comprend un hypermarché et un parking de 1000 véhicules et 120 bus. Un aquaparc étalé sur 10 ha, que les promoteurs veulent le plus grand d’Afrique, sera la pièce maîtresse de ce joyau, est en voie de finition.

Le projet de ce village touristique, implanté sur la route de Sidi Okba, au creux d'une palmeraie paradisiaque de 44 ha, a mobilisé une enveloppe de démarrage de 4000 milliards de centimes. Dans cette oasis de jeux, première du genre en Algérie, sont prévus  un jardin chinois, un jardin inca et un jardin oriental, deux hôtels, dont l’un aura un standing de 5 étoiles d’une capacité de 220 chambres, près de 300 appartements et autres résidences VIP.

Une rivière artificielle de 700 m fait aussi partie du plan pour alimenter les 11 piscines, les bungalows environnants et un complexe sportif.

Il est également prévu un institut de formation aux métiers du tourisme et une ville de cinéma pouvant accueillir jusqu’à 200 étudiants par année. Ce complexe audiovisuel aura pour accompagnement des studios de tournage, montage et production, un auditorium, une médiathèque, un restaurant et 50 chambres.

Lors de la conception des plans par le bureau d’études, implanté à Berlin et dirigé par un consortium d’architectes et d’urbanistes, dont l’un est originaire de Biskra, il a été retenu la préservation intelligente de la palmeraie environnante pour garder un territoire où se marient nature, modernité, agriculture et loisirs.

Une dynamique économique est, on ne peut plus clair, implantée désormais à Biskra via ce « Trad world Algérie » qui ouvrira de nombreux emplois dans cette médina nait entre les dunes du désert.

Le propriétaire promet des tarifs étudiés et très abordables aux familles algériennes qui s’impatientent de s’y rendre. Une grande porte au tourisme intérieur est ouverte.

 

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